Rejoignez l’Association des Maires Ruraux d’Ille et Vilaine sur facebook et sur son site internet

Créée en 2003, l’Association des Maires Ruraux d’Ille-et-Vilaine ne cesse d’évoluer, et compte de plus en plus d’adhérents, d’années en années et s’affiche comme une entité à part entière aux yeux de l’État. Rattachée à l’Association des Maires Ruraux de France, basée à Lyon, notre association a pour but de défendre les intérêts des petites communes.

Elle réunit les élus des communes de moins de 3 500 habitants, pour représenter, défendre et promouvoir les communes rurales et la liberté municipale. 

Elle se présente comme une fédération qui « s’engage au quotidien au niveau local comme national pour défendre et promouvoir les enjeux spécifiques de la ruralité » et est engagée dans la volonté de défendre la liberté communale, l’indépendance vis à vis des partis politiques, le développement des services publics, la lutte contre la désertification et l’équité dans l’aménagement du territoire

Nous vous invitons à la suivre sur son site internet https://mairesruraux35.fr/ ainsi que sur sa page facebook afin de suivre toute son activité et de vous tenir au courant des dernières informations.
C’est également un bon moyen pour la soutenir et lui permettre d’étendre sa visibilité et ainsi toucher plus de monde.

Signature de la charte élagage avec Orange

L’Association des Maires Ruraux a signé avec Orange vendredi 18 Mars une charte d’élagage, permettant ainsi d’entretenir la végétation autour des infrastructures et ainsi s’assurer du bon fonctionnement des réseaux.
La signature de cette charte est une première étape avec un test sur 1 an qui fera l’objet à l’issue de cette période d’un bilan et d’évaluation des actions mises en place par les parties prenantes.

Damien de Kheror et Louis Pautrel signant la charte élagage, en présence de Marie-Thérèse Cakain, membre de l'Association des Maires Ruraux.
Damien de Kheror et Louis Pautrel signant la charte élagage, en présence de Marie-Thérèse Cakain, membre de l’Association des Maires Ruraux.
Damien de Kheror et Louis Pautrel signant la charte élagage
Damien de Kheror et Louis Pautrel signant la charte élagage

[COMMUNIQUÉ DE PRESSE]

Unis-Cité et l’AMRF inaugurent la plateforme web : www.mobiliterre.fr

 Depuis mars 2021, près de 100 jeunes en service civique, avec l’implication d’élu.e.s locaux, travaillent à sensibiliser 50 000 habitant.e.s des territoires ruraux et péri-urbains aux pratiques de la mobilité économe en énergie fossile.

Nouveauté de ce mois de mars 2022, le site internet www.mobiliterre.fr vise à devenir l’outil incontournable de valorisation des actions menées dans les territoires.

Vitrine du projet, des actions des volontaires, des évènements et avancées de Mobili’Terre, mais également relais des initiatives locales portées sur l’ensemble du territoire, cette plateforme sera alimentée régulièrement.

Article Ouest-France sur Loc-Envel

Loc-Envel, cette petite commune bretonne a adhéré a Guingamp-Paimpol Agglomération en 2017. Mais ses 69 habitants veulent préserver son identité, et refuseraient sa fusion dans une commune nouvelle.
Vous pouvez retrouver l’article dans le Ouest-France du 5-6 mars 2022.

Le monde rural veut plus de considération

À l’approche des présidentielles 2022, le Président de l’AMRF Michel Fournier s’est exprimé lors d’un entretien sur le sujet en mettant en avant les volontés des maires ruraux.
Il évoque notamment ce que vit le monde rural face à la hausse du prix du carburant ou encore le problème des déserts médicaux.
 
Vous pouvez retrouver l’entretien dans le Ouest France du Lundi 31 janvier 2022.

2021, l’année record du nombre d’adhérents

L’année 2021 aura été l’année du record du nombre d’adhérents pour l’Association des Maires Ruraux d’Ille et Vilaine avec 197 communes enregistrées.

Peut-être arriveront nous à battre ce record une nouvelle fois en dépassant la barre des 200 avant la fin de 2022?

Bonne année!!

L’association des Maires Ruraux d’Ille et Vilaine vous souhaite une bonne année 2022!

carte de vœux 2022
carte de vœux de l’année 2022

Bouge ton CoQ aide à la Création d’Épicerie Associatives.

Bouge ton CoQ! est partenaire de l’Amrf pour notre nouvelle opération, dans la droite ligne du soutien au petit commerce de proximité entamée lors de notre opération “C’est ma tournée!” qui avait permis de soutenir de nombreux commerçants et artisans dans toute la France pendant le premier confinement (lauréat pour la France du Prix Européen de la solidarité civile).

Pour faire face à la disparition des commerces dans nos communes, Bouge ton CoQ s’est réuni avec Monépi et l’Amrf pour offrir aux communes rurales une solution clef en main afin de faciliter l’ouverture d’une épicerie associative dans les villages.

En quelques mots, une épicerie associative est un commerce d’un genre nouveau : il n’y a ni charge ni marge et il peut ouvrir sans rien coûter à la commune. Ce sont les adhérents qui font tourner la boutique en bénévoles (chacun donne 2h de son temps par mois) et les produits sont achetés en direct producteur sans aucune marge et livrés en commande groupée. Cela permet tout à la fois de créer du lien social, ouvrir un nouveau marché pour les producteurs locaux et réemployer des locaux inoccupés le cas échéant.


 

Concrètement, chaque épicerie qui ouvre recevra une dotation financière de 1100€ (dans la limite des fonds collectés par Bouge ton CoQ!) et Monépi.fr fournira son logiciel de gestion de l’épicerie gratuitement et appuiera les associations dans la mise en route de leur commerce. En deux mois, près de 200 000€ ont déjà été collectés et une dizaine d’épiceries sont déjà financées dans le cadre de notre opération.

Nous vous proposons donc de manifester votre intérêt pour participer à cette opération conçue spécialement pour vous. Pour cela rien de plus simple : vous avez juste à cliquer sur le lien dédié aux maires Amrf et remplir le formulaire (moins de 2mn ) :

https://www.bougetoncoq.fr/operation-epiceries-associatives-monepi/

Tout sera ensuite pris en main pour faciliter l’ouverture de l’épicerie dans les communes.

[COMMUNIQUÉ DE PRESSE]

Veuillez retrouver un communiqué de presse de l’AMRF intitulé :

“Vaccination : les Maires au Rendez vous !”

L’Association des Maires Ruraux de France invite l’ensemble des Maires à faire une réussite de la campagne de Vaccination, à destination des personnes de plus de 75 ans, qui débute Lundi 18 Janvier 2021.

Grâce à leur connaissance de la population, les élus ruraux témoignent encore une fois du rôle clé de la commune.

Développer une alimentation saine, durable et locale dans les cantines scolaires

Le Ministère de l’économie, des finances et de la relance met en place des mesures qui visent à soutenir les cantines scolaires des petites communes souhaitant s’engager dans une démarche durable et développer l’approvisionnement en produits locaux, notamment ceux issus de l’agriculture biologique.

Il s’agit d’équiper les cantines scolaires en matériel permettant de cuisiner des produits frais et locaux, de réduire le gaspillage ou de supprimer les contenants en plastique.

Calculée en fonction d’un forfait par repas, une aide sera calculée et un financement sera accordé en faveur des cantines scolaires des écoles publiques primaires (y compris les maternelles) des petites collectivités qui souhaitent, en contrepartie, s’engager dans une transition durable et être en mesure de proposer plus de produits locaux, bio ou de qualité dans les repas qu’elles servent.

Pour bénéficier de cette aide, il faudra remplir les conditions d’éligibilité et adresser un dossier de demande à votre direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt (DRAAF) qui, après examen et sélection, le fera suivre à l’agence de service et de paiement (ASP), chargée de la mise en œuvre de cette mesure. L’aide sera accessible à compter du 1er janvier 2021 sur la base d’une convention entre l’Etat et l’ASP.

Retrouvez l’article complet et plus de détails sur le site du ministère: https://www.economie.gouv.fr/plan-de-relance/profils/collectivites/developper-alimentation-saine-cantines-scolaires

[ Coronavirus – COVID19 / Mesures de Soutien aux Entreprises Bretonnes]

Le dispositif de fonds de solidarité est réactivé et renforcé et permettra de couvrir l’ensemble des cas de figure. Que vos entreprises ou commerces soient ouverts ou non, vous pouvez bénéficier d’une aide financière.

Accédez au formulaire de demande d’aide via ce lien: https://www.impots.gouv.fr/portail/node/13665

Accédez au pdf du préfet de la région de Bretagne:

2020_11_03_Mesures économiques d’urgence Direccte Bretagne

LES POINTS QUE LE PDF ÉVOQUE:
  • Fonds de Solidarité
  • Prise en Charge des Loyers
  • Exonération et report des cotisations sociales
  • Report des échéances fiscales
  • Remboursement accéléré des crédits d’impôt sur les sociétés et de crédit de TVA
  • Les prêts garantis par l’État et les prêts directs de l’État
  • Le maintien de l’activité
  • Former ses salariés à de nouvelles compétences
  • La médiation du crédit ou des entreprises
  • Mobiliser le commissaire aux restructurations et à la préventions des entreprises en difficulté
  • Le soutien aux secteurs d’activité particulièrement nécessaires à la sécurité de la Nation et à la continuité de la vie économique et sociale

LES STRUCTURES CONCERNÉES

 

1/ Pour les entreprises et les commerces fermés administrativement
Toutes les entreprises de moins de 50 salariés fermées administrativement pourront recevoir une indemnisation allant jusqu’à 10 000 € quel que soit le secteur d’activité et la situation géographique.

2/ Pour les entreprises, restant ouvertes mais durablement touchées par la crise, des secteurs du tourisme, événementiel, culture, sport et des secteurs liés
Il s’agit de toutes les entreprises de moins de 50 salariés, ne fermant pas mais subissant une perte de chiffre d’affaires d’au moins 50%. Elles bénéficieront également de l’indemnisation mensuelle allant jusqu’à 10 000 €.

3/ Pour les autres entreprises restant ouvertes mais impactées par le confinement
Pour toutes les autres entreprises de moins de 50 salariés qui peuvent rester ouvertes mais qui subissent une perte de plus de 50% de leur chiffre d’affaires, l’aide du fonds de solidarité pouvant aller jusqu’à 1 500 € par mois sera rétablie. Elle permettra de soutenir tous les indépendants.

4/ Calendrier et versement des aides
Toutes les entreprises éligibles, quel que soit le cas de figure, pourront recevoir leur indemnisation en se déclarant, à partir de début décembre 2020, sur le site impots.gouv.fr. Elles recevront leur aide dans les jours suivant leur déclaration.
Les entreprises des 54 départements ayant connu un couvre-feu en octobre, dont le département d’Ille-et-Vilaine, pourront remplir leur formulaire à partir du 20 novembre 2020. Elles percevront les aides dans les jours qui suivent.

[FAQ-CONDITIONS DE RÉUNIONS DES ORGANES DÉLIBÉRANTS]

Plusieurs questions ont été posées à l’AMR sur le sujet des conditions de réunions des organes délibérants. Voici une FAQ qui devrait vous apporter quelques réponses.

N’hésitez pas à contacter l’AMR35 pour tous renseignements !

FAQ – Continuité institutionnelle et dispositions dérogatoires pour les collectivités territoriales pendant l’état d’urgence sanitaire

Mis à jour le 2 novembre 2020

NB : Un projet de loi prorogeant d’état d’urgence sanitaire est en cours d’examen par le Parlement. Certaines des mesures en vigueur précédemment et citées ci-dessous (I et II) devraient être réactivées dans ce cadre dès la semaine du 9 novembre.

I . Modalités de réunion des organes délibérants des collectivités territoriales et des EPCI

Q1 – Est-il possible de réunir l’organe délibérant pendant le confinement dans les territoires concernés ?

Le décret n° 2020-1310 du 29 octobre 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire prévoit dans son article 4 que :
« I. – Tout déplacement de personne hors de son lieu de résidence est interdit à l’exception des déplacements pour les motifs suivants en évitant tout regroupement de personnes :
1° Déplacements à destination ou en provenance :
a) Du lieu d’exercice ou de recherche d’une activité professionnelle et déplacements professionnels ne pouvant être différés ; (…)
7° Déplacements pour répondre à une convocation judiciaire ou administrative (…).

II. – Les personnes souhaitant bénéficier de l’une de ces exceptions doivent se munir, lors de leurs déplacements hors de leur domicile, d’un document leur permettant de justifier que le déplacement considéré entre dans le champ de l’une de ces exceptions. »

Ainsi, le fait pour un conseiller municipal ou pour tout membre d’un organe délibérant de se rendre aux réunions de cet organe est couvert par les dispositions de l’article 4 du décret, puisque l’on peut considérer qu’il s’agit à la fois d’une activité à caractère professionnel et qu’il s’agit de répondre à la convocation d’une autorité administrative.

Toutefois, tel n’est pas le cas du public qui souhaiterait assister à ces séances, mis à part les journalistes qui couvriraient les séances du conseil pour le compte du média auquel ils appartiennent et bénéficieraient donc d’une dérogation pour motif professionnel. Le maire ou le président ne peuvent donc autoriser l’accès au public des séances du conseil que pour les journalistes ou les personnes qui justifieraient d’un motif professionnel pour y assister.

Q2 – L’organe délibérant des collectivités territoriales et EPCI à fiscalité propre peut-il se réunir par téléconférence (visioconférence ou audioconférence) ?

• Jusqu’au 30 octobre 2020 était applicable le I de l’article 6 de l’ordonnance n° 2020-391 du 1er avril 2020 visant à assurer la continuité du fonctionnement des institutions locales et de l’exercice des compétences des collectivités territoriales et des établissements publics locaux afin de faire face à l’épidémie de covid-19 qui précise que le maire ou le président de la collectivité ou de l’EPCI peut décider que la réunion de l’organe délibérant, du bureau ou de la commission permanente se tient par visioconférence ou, à défaut, par audioconférence.

• Depuis le 1er novembre 2020, la possibilité de réunir l’organe délibérant des EPCI à fiscalité propre en téléconférence peut être mise en œuvre dans les conditions fixées par les articles R. 5211-2 et s. du CGCT, qui sont entrés en vigueur à cette date (décret n° 2020-904 du 24 juillet 2020).

Q3 – L’organe délibérant des collectivités territoriales et EPCI à fiscalité propre peut-il se réunir en tout lieu, notamment afin d’assurer la tenue des réunions dans les conditions de sécurité sanitaire satisfaisantes ?

• Jusqu’au 30 août 2020 était applicable l’article 9 de l’ordonnance n° 2020-562 du 13 mai 2020, qui permettait au président de l’organe délibérant d’une collectivité territoriale ou au président d’un EPCI à fiscalité propre de réunir le conseil en tout lieu, y compris en dehors de la commune ou du périmètre de l’EPCI à FP, dès lors qu’il ne contrevenait pas au principe de neutralité, qu’il offrait les conditions d’accessibilité et de sécurité nécessaires et qu’il permettait d’assurer la publicité des séances.

• A ce jour, la réunion du conseil municipal doit en principe avoir lieu à la mairie (alinéa 3 de l’article L. 2121-7 du CGCT) et le maire doit organiser la réunion dans le respect des gestes barrière (gel, distance physique, aération) et avec port du masque pour l’ensemble des personnes présentes.

Néanmoins, en cas de configuration de la salle peu satisfaisante, le maire peut s’appuyer sur les dispositions relatives au huis clos, sur les règles sanitaires et sur la police de l’assemblée pour limiter/interdire le public, dans l’hypothèse où des journalistes ou d’autres personnes justifiant d’un motif professionnel pourraient assister aux séances en tant que public (cf. point 1).

En outre, si la salle du conseil ne permet pas de réunir les membres du conseil municipal et d’assurer l’accueil du public dans des conditions de sécurité satisfaisantes, le conseil municipal peut être réuni, à titre exceptionnel, dans un autre lieu de la commune, dès lors que ce lieu ne contrevient pas au principe de neutralité, qu’il offre les conditions d’accessibilité et de sécurité nécessaires et qu’il permet d’assurer la publicité des séances. Le lieu de la réunion doit en outre être porté à la connaissance des habitants au préalable.

Pour la réunion des organes délibérants des EPCI, les contraintes sont moindres puisque l’article L. 5211-11 du CGCT précise que « L’organe délibérant se réunit au siège de l’EPCI ou dans un lieu choisi par l’organe délibérant dans l’une des communes membres ». Le lieu des réunions peut être fixé par l’organe délibérant, sans modification de la décision institutive de l’EPCI.
A noter que l’article 42 du décret n° 2020-1310 du 29 octobre 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire dispose que :
« I. – Les établissements relevant des catégories mentionnées par le règlement pris en application de l’article R. 123-12 du code de la construction et de l’habitation figurant ci-après ne peuvent accueillir du public :

1° Etablissements de type X : Etablissements sportifs couverts ;

2° Etablissements de type PA : Etablissements de plein air.

II. – Par dérogation, les établissements mentionnés au 1° du I et les établissements sportifs de plein air peuvent continuer à accueillir du public pour : (…) – les assemblées délibérantes des collectivités et leurs groupements et les réunions des personnes morales ayant un caractère obligatoire ; »

 

Q4 – L’organe délibérant des collectivités territoriales et EPCI à fiscalité propre peut-il se réunir sans public ?

• Jusqu’au 30 août 2020, l’article 10 de l’ordonnance n° 2020-562 ouvrait la possibilité au président de l’organe délibérant d’une collectivité territoriale ou au président d’un EPCI à fiscalité propre de réunir l’organe délibérant sans public ou avec un nombre limité de personnes présentes, en précisant que le caractère public de la réunion était réputé satisfait lorsque les débats étaient accessibles en direct au public de manière électronique.

• La présence du public en période de confinement (cf. point 1) n’est plus possible mis à part les journalistes qui couvriraient les séances du conseil pour le compte du média auquel ils appartiennent et bénéficieraient donc d’une dérogation pour motif professionnel. Le président ne peut donc autoriser l’accès au public des séances du conseil que pour les journalistes ou les personnes qui justifieraient d’un motif professionnel pour y assister.

• Afin de respecter le principe de publicité des débats, le président peut toujours décider de retransmettre les séances par tous moyens de communication audiovisuelle (en direct ou en différé – troisième alinéa de l’article L. 2121-8 du CGCT applicable aux EPCI par renvoi de l’article L. 5211-1 du CGCT).

• En tout état de cause, le président doit organiser la séance du conseil dans le strict respect des consignes sanitaires (gel, distance physique, aération et port du masque pour l’ensemble des personnes présentes).

II. Règles de quorum et procurations

Q5 – Est-il possible d’utiliser les dispositifs dérogatoires tels que le quorum au tiers ou la possibilité pour un membre de l’organe délibérant de disposer de deux pouvoirs ?

Ces dispositifs, prévus par l’article 10 de la loi n°2020-290 du 23 mars 2020, ne sont plus applicables depuis le 30 août 2020.

III. Délégations à l’exécutif et contrôle de légalité

Q6 – Est-il possible d’utiliser les dispositifs dérogatoires tels que les délégations automatiques à l’exécutif ou la transmission électronique des actes au contrôle de légalité par messagerie ?

Ces dispositifs, prévus par les articles 1er et 7 de l’ordonnance n°2020-391 du 1er avril 2020, ne sont plus applicables depuis le 10 juillet 2020.

IV. Consultations

Q7 – Est-il possible de se dispenser de la consultation de certaines commissions et conseils internes ?

Jusqu’au 30 octobre 2020, l’article 4 de l’ordonnance n°2020-391 du 1er avril 2020 permettait aux maires et présidents des collectivités territoriales et groupements de décider que des commissions et conseils (commissions issues du conseil municipal, conseil de développement, CESER…) ne seront pas saisis des affaires qui leur sont habituellement soumises.

Depuis le 31 octobre, cette faculté de dispense n’est plus disponible.